Dans l’histoire de la peinture occidentale, le paysage a longtemps fait figure de parent pauvre.
Si la peinture de paysage commence en Flandre au XVe siècle, le mot n’apparaît pas avant la
Renaissance ; il faut attendre le XVIIe siècle pour que le paysage devienne un sujet autonome,
mais, dans la hiérarchie des genres picturaux il occupe une place bien modeste, alors que
depuis l’origine, la peinture chinoise plaçait au premier rang le paysage – « montagne et eau »
– et en avait fait son thème de prédilection. Comment ce genre, si longtemps délaissé, a-t-il pu
connaître une éclatante revanche au XIXe siècle où il devient le thème favori de beaucoup de
peintres ? Comment les artistes contemporains abordent-ils le paysage ? Un court rappel
historique appuyé autant que possible sur quelques oeuvres du musée des Augustins, va nous
permettre de jalonner cette longue marche du paysage occidental vers la reconnaissance.
Si la peinture de paysage commence en Flandre au XVe siècle, le mot n’apparaît pas avant la
Renaissance ; il faut attendre le XVIIe siècle pour que le paysage devienne un sujet autonome,
mais, dans la hiérarchie des genres picturaux il occupe une place bien modeste, alors que
depuis l’origine, la peinture chinoise plaçait au premier rang le paysage – « montagne et eau »
– et en avait fait son thème de prédilection. Comment ce genre, si longtemps délaissé, a-t-il pu
connaître une éclatante revanche au XIXe siècle où il devient le thème favori de beaucoup de
peintres ? Comment les artistes contemporains abordent-ils le paysage ? Un court rappel
historique appuyé autant que possible sur quelques oeuvres du musée des Augustins, va nous
permettre de jalonner cette longue marche du paysage occidental vers la reconnaissance.
http://www.edu.augustins.org/pdf/second/paysag/papp01s.pdf
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