I visited Dungeness on Sunday, a large exspanse of shingle on the South East coast of England. It is a bleak landscape with two nuclear power stations, a lighthouse and a small village of fisherman's shacks and modern experimental dwellings. There is also these large concrete structures called 'sound mirrors'.
The sound mirrors, known colloquially as 'listening ears' are located on the banks of a now disused gravel pit. The mirrors were built in the late 1920s and early 1930s as an experimental early warning system for incoming aircraft. They could effectively be used to detect slow moving enemy aircraft before they came into sight and worked by concentrating sound waves towards a central point, where a microphone would have been located. However, their use was limited as aircraft became faster. Operators also found it difficult to distinguish between aircraft and seagoing vessels. In any case, they quickly became obsolete due to the invention of radar in 1932. The experiment was abandoned, and the mirrors left to decay. These desolate concrete monuments now sit redundant within the beak landscape of Dungeness, functioning only as a tourist attraction.
Une équipe russe a régénéré une plante vieille de 31 800 ans à partir de graines trouvées dans le sol gelé de la Sibérie.
(Flavor Flav est facilement reconnaissable à la grosse horloge qu'il porte autour de son cou ainsi qu'à ses chapeaux et lunettes)
Les années passent. Les choses ne changent pas. Il y a environ 31 800 ans, dans le nord de la Sibérie, un écureuil se prépare à l’hiver en amassant dans son terrier tout ce qu’il peut trouver de graines. Et parmi ces graines, il engrange celles de Silene stenophylla, une plante encore commune aujourd’hui dans le nord du Japon ou de la Russie. Mais pour une raison inconnue, l’écureuil ne boulotte pas ses réserves et les graines, restées là, sont respectivement ensevelis et gelés par le temps et le climat. L’histoire aurait pu en rester là... sans la curiosité de chercheurs russes.
Car en étudiant des couches de sols gelés – ou permafrost – riches en os de mammouth et de rhinocéros laineux de la fin du Pléistocène, les scientifiques ont retrouvé, à 38 mètres de profondeur, le garde-manger de l’écureuil… ainsi que 70 autres terriers. Après avoir daté les semences à 31 800 ans grâce au radiocarbone, ils ont utilisé les graines immatures pour cultiver, in vitro, les tissus de S. stenophylla. Et par ce biais, ils ont obtenu des plantes viables : celles-ci ont fleuri et même donné des graines (S. Yashina et al., PNAS, 20 février 2012).
A ce jour, ces plantes sont les plus anciens organismes multicellulaires vivants. Pour les auteurs, cette étude montre que le permafrost, qui couvre 20% de la surface terrestre, pourrait être un important réservoir en graines anciennes. A noter que jusqu’à ce travail, la plus ancienne graine ayant germée, Mathusalem, datait de 2000 ans… seulement.
Hollow, my ancestors have access Hollow, I’m falling down the abyss Hollow, looking for some answers Generations of mothers sailing in Somehow they all were shipfolks Hollow, the ground is opening up Swallows, me up, the trunk of DNA The trunk of DNA, truck
Now come forth, all species Hollow like a bead in necklace Thread me upon this chain I’m part of it, ohh The everlasting necklace Jewels after jewels after jewels after Jewels after jewels after jewels I yearn to belong, let me belong, let me belong,
Slow Action is a post-apocalyptic science fiction film that brings together a series of four 16mm works which exist somewhere between documentary, ethnographic study and fiction.
"Slow Action continues my exploration of curious and extraordinary environments, and applies the idea of island biogeography - the study of how species and eco-systems evolve differently when isolated and surrounded by unsuitable habitat - to a conception of the Earth in a few hundred years; the sea level rising to absurd heights, creating hyperbolic utopias that appear as possible future mini-societies."
Ben Rivers
lundi 12 mars 2012
A wood waste burner, known as a teepee burner or wigwam burner in the United States and a beehive burner in Canada, is a free-standing conical steel structure ranging from 30 to 60 feet in height. They are named for their resemblance to beehives, teepeesor wigwams. A sawdust burner is cylindrical. They have an opening at the top that is covered with a steel grill or mesh.
Teepee or beehive burners are used to dispose of waste wood in logging yards and sawdust from sawmills by burning. As a result they produce a large quantity of smoke and ash which is vented directly into the atmosphere without any sort of scrubbing or cleaning, contributing to poor air conditions wherever they are used.The burners are considered to be a major source of air pollution and are being phased out in most areas.
Teepee burners went out of general use in the Northwestern United States in the early 1970s,and are prohibited from operation in Oregon. The wood waste is now used as a component in various forest products, such as particle board and mulch.
Animal par excellence qu'on offre en sacrifice,
on prise aussi le cochon pour ses dents recourbées. On les obtient en
arrachant des incisives pour que les dents antagonistes croissent
démesurément et prennent ainsi la forme d'un croc. Ces dents recourbées
servent de parures et d'insignes importants lors de grandes cérémonies et marquent aussi le degré d'initiation dans les grades des rangs sociaux dont celui de chef.
Les Océaniens ont toujours considéré la possession de cochons comme un
signe de richesse. En fait, et surtout en Mélanésie, il vaut cher en
termes d'échanges, en termes d'achat (par exemple, en monnaies de coquillages) et aussi en termes symboliques, ses crocs servant à la fois de bijoux et d'insigne de rang.
Pendentif 18 cm x 12 cm
Dépôt du Séminaire de Québec
Collection du Musée de la civilisation Vers 1920 (?)
Papouasie Nouvelle-Guinée
Quatre crocs de cochon, insignes de haut grade (chef, leader)
et fort prisés en Mélanésie, forment l'élément essentiel de ce
pendentif. Une corde torsadée les attache au disque central, en vannerie
et bambou, ornementé de graines blanches, de haricots rouges et d'un
coquillage blanc, tous fixés par une résine noire.
Dans le nord du Vanuatu, à Malekula
notamment, l'incisive supérieure des cochons était cassée pour
permettre à l'inférieure de pousser en spirale, formant parfois deux ou
trois cercles. Nourri à la main, le verrat devenait « une réserve
d'« âme masculine » et cette substance devait passer au sacrificateur de
l'animal lorsque celui-ci était tué. Ces sacrifices permettaient aux
hommes d'acquérir sainteté, titres et emblèmes de leurs rangs et
d'atteindre les plus hauts grades […]. L'identification entre le verrat
et son propriétaire était si forte que l'on incorporait les défenses de
l'animal aux têtes à son effigie ou à celle de son sacrificateur,
également décorées de dessins de cochons ». Des compétitions peuvent exister entre jeunes garçons concernant l'élevage des cochons.
Wikipedia
le fiancé verse le prix de la dot à la
famille de la femme et la transaction se règle ordinairement au moyen de
cochons à dents recourbées, animaux qui représentent une grande valeur
(le prix d’un jeune femme varie de deux à six cochons à dents). Il n’y a
rien de dégradant dans cet échange quand on voit le culte dont sont
entourés ces animaux élevés méticuleusement et à grands frais durant
des années, après enlèvement des canines de la mâchoire supérieure,
permettant aux canines inférieures de se développer et d’atteindre, en
s’enroulant , des dimensions extraordinaires.
Les Nouvelles Hébrides, Note dactylo (auteur inconnu)à l'époque du Condominium. http://port-vila.blogspot.com/
Le vert représente la richesse du pays, le rouge le sang des hommes et le noir le peuple Mélanésien. Le Y jaune, quant à lui, représente la lumière celèste arrivant sur l'île (90% de la population est catholique).
Le dessin jaune sur fond noir est une défense de sanglier, symbole de prospérité avec des feuilles de fougères.
« Les indigènes ne pouvaient pas imaginer le système économique qui se cachait derrière la routine bureaucratique et les étalages des magasins, rien ne laissait croire que les Blancs fabriquaient eux-mêmes leurs marchandises. On ne les voyait pas travailler le métal ni faire les vêtements et les indigènes ne pouvaient pas deviner les procédés industriels permettant de fabriquer ces produits. Tout ce qu’ils voyaient, c’était l’arrivée des navires et des avions. »
Peter Lawrence, Le Culte du cargo, Fayard, 1974, pp. 297-298